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Comment mon side-project de newsletter écolo est devenu mon job à temps plein

Marion fait partie de ceux qui ont eu envie, un jour, de développer un side project.

Le side project est une activité qui se fait le soir ou le week-end et qui permet de s’épanouir dans un autre environnement que celui proposé par le salariat sans avoir de pression financière.

Le side project peut prendre la forme d’un podcast, un blog, une marque de savoir-faire artisanale, une chaîne Youtube, entre autres.

Marion a développé son side project un peu par hasard, au gré de ses intérêts personnels et de son engagement écologique. Aujourd’hui, elle est prête à s’y consacrer pleinement et y voit un véritable avenir professionnel.

J’ai toujours su, qu’un jour, je lancerais mon entreprise

J’ai 29 ans et mon parcours scolaire est des plus classiques. Après le bac, je me suis orientée vers une école de commerce ; c’était pour moi une évidence. Je fais partie de ceux qui ont été formatés, sculptés pour le monde du travail et de l’entreprise. J’ai fait mes débuts au sein du groupe Accor puis en tant que responsable marketing pour un distributeur d’équipements sportifs.

Alors que je faisais mes premiers pas dans le monde du salariat, j’avais conscience que ce n’était qu’une étape, un passage obligé pour bâtir mon expérience. Je ne sais pas pourquoi mais j’ai toujours su qu’un jour, je lancerais mon entreprise. Je n’avais simplement aucune idée du domaine dans lequel je voulais le faire.

Sans trop le savoir, j'ai commencé à développer un side project

Il y a quelques années, je me suis intéressée à la pollution plastique. Ça a été un véritable électrochoc ; je me suis demandée comment on en était arrivé là et comment moi je contribuais à cette pollution. J’ai regardé des documentaires, lu des milliers d’articles et j’ai changé mon mode de consommation. Je suis devenue ce qu’on appelle une écolo engagée. C’était passionnant. À ce moment-là, il est devenu évident que l’entreprise que je monterais serait forcément en lien avec ces problématiques de développement durable.

Autour de moi, les personnes que je côtoyais ont aussi eu envie de changer leurs habitudes de vie, de revoir leur façon de consommer, de s’habiller, de se déplacer. Je suis devenue un point de référence, celle à qui on demande des conseils pour adopter un mode de vie éco-responsable. C’était facile pour moi et j’ai commencé à me constituer une véritable expertise en la matière.

Lors du premier confinement, je me dis que c’est le moment de compiler tous ces conseils dans une newsletter que j’enverrais à mon entourage. Sans trop le savoir, je fais le premier pas dans le développement de mon side project. Je suis en chômage partiel, j’ai le temps. C’est le moment !!

Très vite, ma newsletter et mon compte Instagram deviennent un média

Je crée alors Nouvelle Empreinte dans le but de démystifier l’écologie, de casser les codes du green et d’aborder les problématiques de manière simple. Comme je le fais en side project, je n’ai pas de pression ; je crée quelque chose qui me ressemble sans penser à la dimension « bankable » de ce que je fais.

En revanche, je ne me sens pas légitime pour créer du contenu moi-même. J’ai peur de ne pas être lue car je ne viens pas du milieu ; je décide donc de faire de la curation de contenu et ça me convient parfaitement. Grâce à ma formation en marketing, je lance aussi un compte Instagram assez facilement.

Je me rends compte que l’intérêt pour Nouvelle Empreinte grandit ; des marques me contactent pour collaborer. J’en suis la première surprise ! Je comprends alors que mon side project peut être quelque chose de plus grand, avec un impact plus important que ce que j’avais imaginé. Je ne lâche pas mais j’ai envie de mettre toutes les chances de mon côté pour donner à ce projet un vrai avenir professionnel.

Je me suis inscrite à une formation pour me débarrasser de mon syndrome de l’imposteur

Je ne sais pas par où commencer pour faire de Nouvelle Empreinte un vrai projet professionnel. Et pour être tout à fait honnête j’ai peur de me lancer seule, je manque de confiance en moi et je me sens totalement illégitime.

En octobre 2020, je décide de m’inscrire à une session de Goldup, ce bootcamp pensé pour les femmes pour leur redonner confiance et le pouvoir d’entreprendre. Le côté exclusivement féminin me rassure, je pressens que je serai moins jugée. Ça a été un véritable déclic : ces 10 jours de bootcamp me donnent une validation, des clefs pour mener à bien mon projet, des grandes lignes à respecter, une légitimité aussi. Petit à petit, je sens que je n’ai plus de freins et que ma confiance en moi monte en flèche.

En quelques semaines, je me lance à 100% dans mon side project

Je suis toujours en poste au chômage partiel et après ma session au Goldup je me fixe des objectifs précis pour Nouvelle Empreinte. Si je n’ai pas de business model défini, je sais que la force de Nouvelle Empreinte réside dans sa communauté, son audience. C’est là-dessus que je dois capitaliser pour pouvoir ensuite monétiser mon activité.

Ma communauté grandit, les demandes de partenariats se multiplient. Je sens qu’il est temps de me lancer à temps plein dans Nouvelle Empreinte et de négocier une rupture conventionnelle. Je suis de celles qui ont besoin de s’investir à 100% et je sens que c’est là, que c’est le moment. Pourquoi attendre ?

La prochaine étape ? Diversifier les formats et continuer de faire grossir considérablement l’audience.

Mes 3 conseils aux femmes qui veulent lancer un side project :

  • Parler de son projet, de ses idées à son entourage. Ça donne confiance,ça permet d’avoir des feedbacks (positifs et négatifs) et d’ajuster son projet.
  • Ne pas avoir peur de ne pas réussir. Il faut comprendre que dans tous les cas on ne perd pas son temps, que l’expérience sera bénéfique et qu’on pourra toujours, toujours rebondir.
  • Se recentrer, ne pas s’éparpiller. Il faut tester 2 ou 3 idées, les explorer à fond et en retirer les enseignements nécessaires.

Ce qu’on peut retenir de l’expérience de Marion, par Roxane Régnier, fondatrice de Misfit :

  • Il n’est pas dramatique de ne pas voir de suite la manière dont une passion, un intérêt ou une conviction peut se transformer en projet professionnel. Dans la plupart des cas, et c’est d’ailleurs ce que l’histoire de Marion nous montre, le passage de l’intérêt au projet professionnel se fait naturellement.
  • Le sentiment d’illégitimité qu’on peut facilement ressentir en lançant un projet est toujours temporaire ! Se sentir illégitime ne fait jamais partie de sa personnalité, c’est un sentiment qui reste contextuel. Souvent, un accompagnement peut largement aider à s’en défaire.
  • Rejoindre une communauté de personnes qui aspirent aux mêmes choses que vous et présentent des profils similaires aux vôtres peut faire l’effet d’un vrai boost sur votre confiance en vous ! En effet, c’est en échangeant avec des pairs que vous pourrez démystifier le rôle de l’entrepreneure et vous rendre compte que vous aussi, vous pouvez vous lancer à fond.

L’histoire de Marion vous donne envie de changer de vie ? 

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